Clientèle
Avant de participer à un programme d’équitation thérapeutique, tous les aspirants cavaliers doivent faire remplir par un médecin un formulaire de recommandation médicale
Avant de participer à un programme d’équitation thérapeutique, tous les aspirants cavaliers doivent faire remplir par un médecin un formulaire de recommandation médicale. Les personnes ayant une déficience ne devraient pas prendre part à un programme d’Équitation thérapeutique à moins qu’un conseiller médical ou tout autre professionnel qualifié, par exemple un physiothérapeute ou un ergothérapeute, les aient examinées et jugées aptes à pratiquer l’équitation et considèrent qu’il s’agit d’une activité qui leur convient. Les responsables du programme se réservent cependant le droit de déterminer si un candidat peut, ou non, être intégré au programme. Le cavalier dont le handicap est de nature évolutive doit obtenir auprès d’un médecin une déclaration à jour attestant de son état.
Dans la mesure où il n’y a pas de contre-indication à la pratique de l’équitation, des programmes d’équitation thérapeutique peuvent être conçus pour les enfants et les adultes vivant avec les problématiques suivantes :
- Déficience intellectuelle
- Troubles du spectre de l’autisme
- Déficiences et déficits physiques, neurologiques et sensoriels
- Difficultés d’adaptation, d’apprentissage et de comportement
- Troubles de santé mentale
- Problématiques de dépendances
- Problématiques de violence et d’intimidation
Avant d’accepter quiconque dans un programme d’équitation thérapeutique, le médecin traitant devra avoir été consulté afin de s’assurer que la pratique de l’équitation convient à cette personne. Si on ne tient pas compte des contre-indications et que les précautions essentielles ne sont pas prises, la pratique de l’équitation risque d’être une activité plus dangereuse que bénéfique.
La clientèle pouvant bénéficier des bienfaits de l’équitation thérapeutique est très variée
- Les troubles orthopédiques
- Les affections neurologiques touchant le cerveau
- Les troubles neurologiques affectant la moelle épinière
- Les troubles neuromusculaires
- L’autisme
- Le syndrome de Down
- Les déficiences auditives
- Les troubles émotifs
- La déficience intellectuelle/développementale
- Les difficultés d’apprentissage, de comportement
- Les déficiences visuelles